L'enfant
Sur mes joues ravinées coule le sang salé
Que mes yeux, plaies béantes, ne peuvent juguler
Inondant l'être "chair" aux souffrances apaisées
Qui peut-être en l'éden trouve sa liberté
J'aime à croire qu'en ce jour ton petit corps meurtri
se prélasse vainqueur, même de l'infini
Doux triomphe d'un passage, terrestre maladie
Ton sourire malgré tout imprime mon esprit
Comme je t'aime mon amour, comme j'aime à te toucher
Dans mon coeur, dans mes bras, dans toutes mes pensées
Ton odeur je respire les paupières fermées
Ton retour dans mon ventre je le garde à jamais
mtd
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